Qu’est ce qui vous a amené à l’attelage et plus particulièrement au tourisme équestre ?
Je suis né dedans ! Mon père était marchand de chevaux, étant gamin je montais à cru et je n’ai jamais pris de cours. J’ai commencé par être cavalier, et il y a 20 ans, je suis devenu meneur par accident. A l’époque j’avais une jument, une trotteuse, qui s’est mise à boiter. Je l’ai alors fait saillir par un cob, et comme le produit était costaud je l’ai mis à l’attelage. Je montais autant que j’attelais. J’ai fait un peu d’endurance, un peu de concours d’attelage, puis j’ai arrêté car le niveau est devenu élevé. C’est la compétition et il n’y a plus de plaisir, aujourd’hui je ne fais que des randos.
Dans l’année quelle est la fréquence de vos sorties, vos randonnées…?
Je sors essentiellement le week-end, seul ou en famille, et de février à novembre je fais tous les rallyes aux alentours. Et puis, il y a une vingtaine d’années, j’ai lancé avec un voisin, Joseph Pelard, le rallye des « Trois-Gués », une rando montée et attelée le premier dimanche d’octobre à Chaillé sous les Ormeaux. C’est le comité des fêtes qui l’organise, et tous les ans nous arrivons à une centaine de participants.
Dans le choix de vos randonnées que privilégiez-vous ?
Le cadre et la convivialité… la rencontre avec les copains, on se connaît tous.
Parlez-nous de votre attelage…
J’ai une quatre roues, c’est bien pour randonner en famille, et une jument croisée trotteur/cob/arabe de sept ans. Elle est gentille mais l’arabe ressort, il faut aller à bonne allure.
Si vous deviez choisir un moment fort de votre expérience, lequel serait-il ?
Un moment fort… que les bons moments. Si ce n’est plus «bon», j’arrête ! (sourire)
Quels sont vos projets ?
J’aimerais partir en randonnée sur plusieurs jours, avec les copains. J’aurais aimé faire le tour de Corse à cheval (j’y suis allé trois fois) mais c’est plus difficile à organiser.
Le mot de la fin…..
J’espère continuer longtemps.
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